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Coraline & Pierre: La vengeance de de Jarvaux d'Arbois. Episode 16.

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Coraline & Pierre: La vengeance de de Jarvaux d'Arbois. Episode 16. Empty Coraline & Pierre: La vengeance de de Jarvaux d'Arbois. Episode 16.

Message  loudé Mallorca Lun 10 Fév - 20:31

Bonsoir, M'sieurs - Dames.
Voici la suite de votre histoire...
Bonne lecture!

Episode 16

-Caroline!, fait Maria-Luisa, avec un franc sourire. Je suis tellement contente d'enfin faire ta connaissance!
-Ta maman m'a si souvent parlé de toi que j'ai l'impression de te connaître depuis toujours!, continue-t'elle, avant de l'embrasser sur les deux joues, elle aussi.
-C'est incroyable comme elle te ressemble!, reprend-elle. Elle a bien les yeux bleus de son papa... Mais tout le reste, c'est bien de toi qu'elle le tient.
Puis, en riant:
-Il est temps d'apprendre l'espagnol, ma fille! Et même le Mallorquin! Après tout, tu es native d'ici...Il faut apprendre ta langue!
-Tiens!? J'ai un neveu, Juan, qui vit avec nous depuis la mort de ses parents, reprend-elle. Il est un peu plus âgé que toi: Je pourrais lui demander de venir te donner des cours d'espagnol et toi, tu lui apprendrais le français en échange. Bonne idée, non?
-Heu...Sans doute, oui!, répond prudemment Caroline, pas plus emballée que cela à passer ses vacances à apprendre une langue, fût-ce même celle du pays où elle a vu le jour.
-Mais non, Maria-Luisa te taquine!, la rassure sa maman. En revanche, c'est vrai que Juan pourrait te faire visiter le coin, poursuit-elle, pensive. Je risque d'être assez occupée cette semaine. Tu vas être un peu seule et tu risques de t'ennuyer. Surtout que tu ne connais personne ici...
-Mais aujourd'hui, reprend Cora, je suis encore en congé! Je te laisse encore la « boutique » cet après-midi, Maria-Luisa. Nous allons aller manger et puis nous avons une importante visite à rendre, achève-t'elle, avec un clin d'oeil à sa fille.

****

En entendant la sonnette de la porte d'entrée à une heure aussi matinale, Dominique a un léger mouvement de surprise.
Ils ont dû oublier quelque chose!, pense-t'elle immédiatement, en décrochant le combiné de l'interphone extérieur.
Une voix qu'elle ne connait pas s'adresse très poliment à elle:
-Bonjour Madame. Je vous prie de bien vouloir m'excuser de vous déranger à une heure pareille...
La voix laisse un blanc et reprend, presque aussitôt:
-J'amenais des matériaux un peu plus haut dans la rue... Et ma camionnette vient de me lâcher! Comme vous êtes la seule maison dans la rue qui soit éclairée de si bonne heure, j'ai pensé que je pourrai peut-être téléphoner à mon patron depuis chez vous...
Rassurée par le ton calme et la politesse de son interlocuteur, Dominique lui ouvre sa porte sans méfiance...
C'est ce qu'attendaient les trois frères cachés derrière la haie.
D'un bond, ils sont à l'intérieur, avec Dorian.
-Cela marche toujours, le coup de la panne!, fait celui-ci, en fixant une Dominique pétrifiée, un sourire vicieux sur sa face.
-Que... Que voulez-vous?, en resserrant machinalement la ceinture de sa robe de chambre sur ses hanches. Je n'ai pas beaucoup d'argent ici et...
-De l'argent?, fait Marc. Mais nous n'en voulons pas à ton argent, voyons! Nous ne sommes pas des voleurs... Pas aujourd'hui, du moins!
-Elle nous traite de voleurs?, dit Max. Ce n'est pas très gentil, cela!
Dominique a reculé...
Elle est maintenant accolée au mur de l'entrée, pâle et le souffle court.
Les quatre hommes, sans se presser, s'approche d'elle.
-Ce n'est même pas gentil du tout, cela!, fait Jaco, le petit dernier. On devraient la punir pour cela, non?
-Ah oui, on devraient! plaisante Dorian, tentant, comme par jeu, de s'emparer de la ceinture de la robe de chambre.
Les yeux agrandis par la terreur, Dominique essaye de faire un bond vers la porte de sa cuisine...
C'est ce qu'attendaient les quatre crapules: Dorian l'attrape au vol, tandis que Marc se glissant derrière elle, la maintien immobilisée, les bras dans le dos.
Elle ouvre la bouche pour hurler mais Max, plus rapide, y a déjà plaqué sa large main calleuse et sale.
Elle voit Jaco, le plus jeune, s'approcher d'elle sans se presser.
Il dénoue sans hâte la ceinture de la robe de chambre rose qu'elle porte, puis d'un geste brusque, la rabat en arrière, sur ses épaules.
Marc, derrière elle, la fait glisser à terre et Dominique, terrorisée, se retrouve devant les quatre hommes vêtue en tout et pour tout de sa courte nuisette bleue transparente.
Elle ne cache plus grand chose de son anatomie puisque s'arrêtant bien au-dessus de ses genoux.
Dorian sort alors un couteau à cran d'arrêt de sa poche...
Un déclic fait jaillir la longue lame argentée...
Il s'approche lentement de sa proie terrorisée et la fait miroiter devant elle.
Sans dire un mot, il glisse la lame entre la peau nue de l'épaule et la bretelle du haut du vêtement. D'un geste sec, il la tranche nette. Il fait de même pour l'autre puis, se baissant, il attrape le bas de la nuisette et la tire très doucement vers le bas.
Jaco et Max se sont reculés d'un pas et ne perdent rien du spectacle qui leur est offert.
Les épaules, la poitrine, le nombril... se dénudent lentement.
Dorian marque un temps d'arrêt, se recule et observe Dominique, mi-nue, toujours maintenue les bras en arrière par Marc, les yeux luisants...
Il se saisit à nouveau du léger tissu et réitère son petit manège: Les premiers poils pubiens puis le sexe en entier apparaissent...
Dominique, brutalement, essaye de ruer, violemment, avec désespoir: Peine perdue!
Dorian tire une dernière fois sur le vêtement...
Elle est complètement nue devant ses tortionnaires...
De grosses larmes coulent sur ses joues.
Jaco, qui avait disparu depuis un petit moment, reviens en annonçant, les yeux rivés sur elle:
-J'ai trouvé la chambre de cette s...!
Dominique est comme privée toute résistance... La terreur la paralyse!
Elle se sent entraînée vers sa chambre...
Les yeux embués de larmes, elle devine, plus qu'elle ne le voit, l'un des frères déchirer le drap de son lit en lanières.
Ils l'y poussent violemment: Elle tente d' hurler.
Le contact glacé de la lame du couteau de Dorian, en se posant sur sa gorge, étrangle son cri tout net.
-Tu bouges... Tu cries... Tu respires trop fort, lui chuchote-t'il, la bouche collée à son oreille, et je te troue! Pigé?
Un des quatre s..., profitant que son frère la contraint à l'immobilité avec son couteau, a ligoté ses poignets puis ses chevilles aux montants du lit, avec les lambeaux du drap déchiré.
Dorian contourne lit et rejoint ses frères aux pieds du lit pour la contempler, nue et écartelée.
-L'est pas mal, la vioque!, commente Jaco, en se frottant les mains.
-Sûr! On a bien fait de venir!, surenchérit Marc, avec un geste obscène sur le devant de son pantalon.
-Qui commence?, achève Max.
-Non, non! Pitié! Pas cela!, supplie Dominique, en sanglotant.
Pour toute réponse, elle n'obtient qu'un rire gras.
-'Fallait pas nous traiter de voleurs!, fait Marc, en baissant le premier son pantalon.
-Pitié!, supplie encore Dominique. Au sec...
Jaco, revenu à la tête du lit, lui pince le nez. Méchamment! Durement! Pour faire mal!
Privée de respiration, Dominique ouvre grand la bouche.

A suivre

loudé Mallorca

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