Braine et Waterloo mis en scène
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Braine et Waterloo mis en scène
Les deux villes sont au centre de romans de gare publiés aux éditions Luc Pire
BRAINE-L’ALLEUD/WATERLOO Chaque jour de semaine, pas moins de 375.000 personnes se rendent au travail en train. Et en moyenne, elles passent un peu plus d’une heure dans les wagons de la SNCB. Un temps perdu que beaucoup tuent en s’avançant sur leur travail, en surfant sur Internet, en lisant les journaux…
“Les autres occupations des passagers sont de dialoguer, regarder autour de soi, écouter de la musique et ne rien faire ou dormir” , commente-t-on à la SNCB.
Les éditions Luc Pire ont donc décidé de s’accaparer ce temps en proposant aux navetteurs les nouvelles collections des romans de gare, coéditées avec la SNCB Holding, histoire de rendre le trajet plus agréable.
Trois nouveaux romans sont ainsi sortis le 3 novembre dernier et deux s’intéressent de près au Brabant wallon. Et plus particulièrement aux communes de Waterloo et Braine-l’Alleud.
Le premier, dans la catégorie Kiss and read – ou roman à l’eau de rose -, a été écrit par Isabelle Bary, une ingénieure commerciale diplômée de Solvay qui a tout plaqué pour entièrement se consacrer à l’écriture.
Son roman, Braine Blues , met en scène une brillante journaliste politique, Nine Paulus, qui tente de rejoindre l’homme qu’elle a quitté il y a cinq ans, et emporte le lecteur dans un huis clos ayant pour cadre une voiture immobilisée sur la ligne Bruxelles-Charleroi. Une situation que les usagers de la SNCB auront, au moins une fois, vécue dans la réalité.
Le second roman, dans la catégorie Kill and read – ou thriller – a été rédigé par Jean-Baptiste Baronian, auteur fantastique membre de l’académie royale de langue et littérature française.
Dans Meurtre à Waterloo , il met en scène un avocat de 48 ans qui, après avoir été rayé du barreau, est devenu détective privé dans la cité du Lion. Une de ses premières clientes lui demande alors d’enquêter sur le meurtre de son père dont le cadavre a été découvert, six mois auparavant, dans le panorama de la bataille de Waterloo, au pied de la Butte du Lion.
En publiant ces romans de gare au prix de 10 €, les éditions Luc Pire espèrent relancer un phénomène qui s’était peu à peu amenuisé avec l’apparition des nouvelles technologies et d’Internet.
Yannick Natelhoff
BRAINE-L’ALLEUD/WATERLOO Chaque jour de semaine, pas moins de 375.000 personnes se rendent au travail en train. Et en moyenne, elles passent un peu plus d’une heure dans les wagons de la SNCB. Un temps perdu que beaucoup tuent en s’avançant sur leur travail, en surfant sur Internet, en lisant les journaux…
“Les autres occupations des passagers sont de dialoguer, regarder autour de soi, écouter de la musique et ne rien faire ou dormir” , commente-t-on à la SNCB.
Les éditions Luc Pire ont donc décidé de s’accaparer ce temps en proposant aux navetteurs les nouvelles collections des romans de gare, coéditées avec la SNCB Holding, histoire de rendre le trajet plus agréable.
Trois nouveaux romans sont ainsi sortis le 3 novembre dernier et deux s’intéressent de près au Brabant wallon. Et plus particulièrement aux communes de Waterloo et Braine-l’Alleud.
Le premier, dans la catégorie Kiss and read – ou roman à l’eau de rose -, a été écrit par Isabelle Bary, une ingénieure commerciale diplômée de Solvay qui a tout plaqué pour entièrement se consacrer à l’écriture.
Son roman, Braine Blues , met en scène une brillante journaliste politique, Nine Paulus, qui tente de rejoindre l’homme qu’elle a quitté il y a cinq ans, et emporte le lecteur dans un huis clos ayant pour cadre une voiture immobilisée sur la ligne Bruxelles-Charleroi. Une situation que les usagers de la SNCB auront, au moins une fois, vécue dans la réalité.
Le second roman, dans la catégorie Kill and read – ou thriller – a été rédigé par Jean-Baptiste Baronian, auteur fantastique membre de l’académie royale de langue et littérature française.
Dans Meurtre à Waterloo , il met en scène un avocat de 48 ans qui, après avoir été rayé du barreau, est devenu détective privé dans la cité du Lion. Une de ses premières clientes lui demande alors d’enquêter sur le meurtre de son père dont le cadavre a été découvert, six mois auparavant, dans le panorama de la bataille de Waterloo, au pied de la Butte du Lion.
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