Coraline & Pierre: La vengeance de de Jarvaux d'Arbois. Episode 68.
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Coraline & Pierre: La vengeance de de Jarvaux d'Arbois. Episode 68.
Episode 68
Elle tente de crier mais une main la bâillonne tandis qu' une horrible odeur d'éther lui monte dans les narines.
Elle se sent poussée dans le dos puis tout devient noir...
-Vite!, fait Jaco. Donne son sac: Il nous faut les clés de sa voiture!
Tout en parlant, il claqué le coffre ouvert de la Clio sur Coraline, allongée sur le plancher de la voiture.
Tandis que Marc, à l'intérieur de la Renault, immobilise bras et jambes de la jeune femme avec de la toile adhésive, Jaco a déjà mis le moteur de la Golf en route.
Il fait une rapide marche arrière et s'engage sur la route, suivi par la Clio pilotée par Marc.
L'enlèvement n'a pas durer plus de trois minutes...
-C'est fait!, lance simplement Jaco dans le micro de son GSM, tout en conduisant.
-OK!, répond Dorian. Vous savez ce que vous avez à faire...
Quand elle reprend connaissance, Cora est toujours couchée sur la tôle dure du coffre de la Renault.
Elle a encore la tête recouverte par le sac et l'odeur d'éther qui s'en engage lui donne la nausée.
Elle essaye de remuer bras et jambes: Impossible!
Elle essaye alors de pousser un cri; peine perdue. La toile du sac est collée contre sa bouche...
Après un temps relativement long, la voiture s'arrête. Elle entend la porte arrière s'ouvrir. Deux bras la saisissent à bras le corps et elle se sent jetée sans ménagement contre une surface dure, qui lui entre dans l'estomac, provoquant une nouvelle nausée. Elle sent qu'on la déplace... Elle a la tête en bas et ses pieds pendent dans le vide...
Trente secondes plus tard, on la jette sur une surface molle et douce.
-Un lit!, pense-t'elle.
Quelque chose de dur et froid se referme sur sa cheville droite et soudain, sans ménagement, on lui retire le sac.
Elle n'a pas le temps de dire un mot: Déjà un épais morceau de toile isolante lui couvre la bouche.
Elle regarde autour d'elle: Elle se trouve bien sur un lit, comme elle l'avait supposé.
Pour le reste, elle est dans une pièce relativement grande, aux murs gris et nus, inondée d'une violente lumière crue qui lui fait mal aux yeux.
Elle remarque la cuvette de WC, en inox, ouverte à tous les regards et un lavabo, en inox également, au-dessus duquel est fixé un miroir.
Cela constitue, si l'on excepte la table et les deux chaises qu'elle aperçoit derrière deux hommes debout devant elle, tout le mobilier de cette étrange pièce!
-L'est pas mal!, fait le plus petit.
-Tu rigoles?, répond l'autre. C'est un canon!
-Les gens qui voulaient que je les renseigne..., se dit-elle, vraiment pas rassurée.
-On va voir cela de plus près! T'as branché les caméras, Jaco?
-C'est fait!
-A poil!, intime alors sèchement le plus grand, en coupant le ruban de toile isolante qui retient ses mains captives.
Malgré ses jambes encore entravées, Cora bondit sur ses pieds et lance ses deux mains tendues en avant, vers les yeux de l'homme.
Celui-ci fait un petit saut sur le côté et Cora, la jambe retenue par la chaine qui enserre sa cheville, emportée par son élan, s'écrase sur le sol, devant les pieds du plus petit.
Ceux-ci éclatent d'un rire gras.
-T'as entendu c'que mon frère t'as dit, s....? A poil!, fait-il, en l'attrapant par les cheveux et en tirant violemment vers le haut, pour l'obliger à se relever.
Malgré elle, des larmes de douleurs et de rage perlent dans ses yeux.
-A poil? Jamais! Même pas dans tes rêves, c....!, pense-t'elle, droite et immobile, en le fixant droit dans les yeux.
Hélas, les deux gaillards qu'elle devant elle ne plaisantent pas: Le plus grand se saisit de l'avant de son tailleur gris et tire brutalement. Tous les boutons, y compris ceux du chemisier blanc qu'elle porte en dessous, lâchent d'un coup. Il n'a plus qu 'à lui retirer le tout.
Pour la jupe, se rendant sans doute qu'elle ne passerait pas à cause de la chaîne, il n'hésite pas une seule seconde: Avec le couteau qui lui a servi à couper la toile isolante qui lui immobilisait les mains, il découpe carrément tout le côté droit!
Bien vite, la jupe est parterre, avec le reste de ses vêtements...
Les deux hommes la fixe un moment...
-Elle est déjà mieux comme cela, non?, fait Jaco, avec un rire gras.
-Ah oui! Nettement! La suite, maintenant!, fait-il, en approchant sa main du soutien-gorge.
Dans un sursaut de rage, Cora tente encore une fois de bondir sur ses tortionnaires...
Encore une fois, elle n'arrive qu'à s'écraser sur le sol en bois...
Profitant de ce qu'elle est allongée face contre sol, le plus petit lui ramène les bras en arrière et lui immobilise vivement poignets avec de nouvelles bandes adhésives.
Cela fait, il n'a plus qu'a ouvrir l'attache du soutien pendant que son frère continue à jouer du couteau avec le slip...
Ils la saisissent chacun par une épaule et la remette debout: Plus rien à faire!
Attachée comme elle est, elle doit se laisser contempler de ses bourreaux...
Et ils ne perdent pas une miette...
Le plus petit -qui a l'air le plus jeune- surtout: Le visage écarlate, il sue à grosses gouttes en soufflant bruyamment.
-J'ai bien envie..., commence-t'il, en tendant une main en direction des seins de Cora.
-Pas touche!, fait son frère. Tu sais que Dorian a dit! Regardez...mais pas toucher! Elle doit nous rapporter un max! Pas question de l’abîmer!
Puis, se tournant vers Cora:
-Allez, joli cabri! Sautille jusqu'au lit!, fait-il, avec une joie mauvaise dans le regard. Allez, saute!
Humiliée, Cora n'a pourtant d'autre solution que de lui obéir...
Ses petits sauts animent ses seins nus d'un mouvement qui semble rendre le plus petit de ses geôliers littéralement fou!
Ses yeux, fixés sur cet endroit précis de son anatomie, semblent vouloir jaillir de leurs orbites tandis qu'une grosse bosse déforme l'avant de son jean sale...
Si le plus grand n'avait lancé un:
-N'y pense même pas, Jaco!, sec, nul doute qu'il lui aurait bondi dessus.
Quand ses jambes touche le bord du lit, le plus grand, d'une simple poussée de son index tendu entre ses seins, l'y fait basculer.
-J'suis pas cruel, fait-il. J'vais te libérer les jambes... Tu peux aller faire un petit pipi, comme cela!, achève-t'il en riant.
-Oh oui! Bonne idée! Va pisser, que je voie cela!, fait Jaco.
-Allons, allons! Jaco! On ne parle pas comme cela aux dames, voyons! Laisse-lui un peu d'intimité, continue -t'il, avec un grand rire gras.
-Nous vous quittons, Madame!, fait-il, encore. Mais nous reviendrons bientôt, soyez-en sûre! D'ici là, reposez-vous car, connaissant mon frère comme je le connais, le programme qu'il vous a concocté pour les jours qui viennent sera tout...sauf reposant!
L'instant d'après, Cora se retrouve seule dans le silence épais de sa geôle.
-L'est encore mieux roulée que sa mère!, fait Dorian, les yeux rivés sur l'écran de télévision de l'armoire à pharmacie au-dessus de l'établi, quand ses deux frères viennent l'y rejoindre.
-A qui le dis-tu..., fait Jaco, en poussant un soupir à fendre l'âme.
-T'inquiètes! Tu pourras jouer avec elle et avec l'autre quand nous aurons finis la première partie de mon plan!, fait Dorian, en poussant sur le bouton du boîtier de télécommande de l'éclairage, dans la cellule.
-Ouais! Tu dis cela! Et ce s'ra quand, d'après toi?, répond Jaco.
A suivre.
Elle tente de crier mais une main la bâillonne tandis qu' une horrible odeur d'éther lui monte dans les narines.
Elle se sent poussée dans le dos puis tout devient noir...
-Vite!, fait Jaco. Donne son sac: Il nous faut les clés de sa voiture!
Tout en parlant, il claqué le coffre ouvert de la Clio sur Coraline, allongée sur le plancher de la voiture.
Tandis que Marc, à l'intérieur de la Renault, immobilise bras et jambes de la jeune femme avec de la toile adhésive, Jaco a déjà mis le moteur de la Golf en route.
Il fait une rapide marche arrière et s'engage sur la route, suivi par la Clio pilotée par Marc.
L'enlèvement n'a pas durer plus de trois minutes...
-C'est fait!, lance simplement Jaco dans le micro de son GSM, tout en conduisant.
-OK!, répond Dorian. Vous savez ce que vous avez à faire...
Quand elle reprend connaissance, Cora est toujours couchée sur la tôle dure du coffre de la Renault.
Elle a encore la tête recouverte par le sac et l'odeur d'éther qui s'en engage lui donne la nausée.
Elle essaye de remuer bras et jambes: Impossible!
Elle essaye alors de pousser un cri; peine perdue. La toile du sac est collée contre sa bouche...
Après un temps relativement long, la voiture s'arrête. Elle entend la porte arrière s'ouvrir. Deux bras la saisissent à bras le corps et elle se sent jetée sans ménagement contre une surface dure, qui lui entre dans l'estomac, provoquant une nouvelle nausée. Elle sent qu'on la déplace... Elle a la tête en bas et ses pieds pendent dans le vide...
Trente secondes plus tard, on la jette sur une surface molle et douce.
-Un lit!, pense-t'elle.
Quelque chose de dur et froid se referme sur sa cheville droite et soudain, sans ménagement, on lui retire le sac.
Elle n'a pas le temps de dire un mot: Déjà un épais morceau de toile isolante lui couvre la bouche.
Elle regarde autour d'elle: Elle se trouve bien sur un lit, comme elle l'avait supposé.
Pour le reste, elle est dans une pièce relativement grande, aux murs gris et nus, inondée d'une violente lumière crue qui lui fait mal aux yeux.
Elle remarque la cuvette de WC, en inox, ouverte à tous les regards et un lavabo, en inox également, au-dessus duquel est fixé un miroir.
Cela constitue, si l'on excepte la table et les deux chaises qu'elle aperçoit derrière deux hommes debout devant elle, tout le mobilier de cette étrange pièce!
-L'est pas mal!, fait le plus petit.
-Tu rigoles?, répond l'autre. C'est un canon!
-Les gens qui voulaient que je les renseigne..., se dit-elle, vraiment pas rassurée.
-On va voir cela de plus près! T'as branché les caméras, Jaco?
-C'est fait!
-A poil!, intime alors sèchement le plus grand, en coupant le ruban de toile isolante qui retient ses mains captives.
Malgré ses jambes encore entravées, Cora bondit sur ses pieds et lance ses deux mains tendues en avant, vers les yeux de l'homme.
Celui-ci fait un petit saut sur le côté et Cora, la jambe retenue par la chaine qui enserre sa cheville, emportée par son élan, s'écrase sur le sol, devant les pieds du plus petit.
Ceux-ci éclatent d'un rire gras.
-T'as entendu c'que mon frère t'as dit, s....? A poil!, fait-il, en l'attrapant par les cheveux et en tirant violemment vers le haut, pour l'obliger à se relever.
Malgré elle, des larmes de douleurs et de rage perlent dans ses yeux.
-A poil? Jamais! Même pas dans tes rêves, c....!, pense-t'elle, droite et immobile, en le fixant droit dans les yeux.
Hélas, les deux gaillards qu'elle devant elle ne plaisantent pas: Le plus grand se saisit de l'avant de son tailleur gris et tire brutalement. Tous les boutons, y compris ceux du chemisier blanc qu'elle porte en dessous, lâchent d'un coup. Il n'a plus qu 'à lui retirer le tout.
Pour la jupe, se rendant sans doute qu'elle ne passerait pas à cause de la chaîne, il n'hésite pas une seule seconde: Avec le couteau qui lui a servi à couper la toile isolante qui lui immobilisait les mains, il découpe carrément tout le côté droit!
Bien vite, la jupe est parterre, avec le reste de ses vêtements...
Les deux hommes la fixe un moment...
-Elle est déjà mieux comme cela, non?, fait Jaco, avec un rire gras.
-Ah oui! Nettement! La suite, maintenant!, fait-il, en approchant sa main du soutien-gorge.
Dans un sursaut de rage, Cora tente encore une fois de bondir sur ses tortionnaires...
Encore une fois, elle n'arrive qu'à s'écraser sur le sol en bois...
Profitant de ce qu'elle est allongée face contre sol, le plus petit lui ramène les bras en arrière et lui immobilise vivement poignets avec de nouvelles bandes adhésives.
Cela fait, il n'a plus qu'a ouvrir l'attache du soutien pendant que son frère continue à jouer du couteau avec le slip...
Ils la saisissent chacun par une épaule et la remette debout: Plus rien à faire!
Attachée comme elle est, elle doit se laisser contempler de ses bourreaux...
Et ils ne perdent pas une miette...
Le plus petit -qui a l'air le plus jeune- surtout: Le visage écarlate, il sue à grosses gouttes en soufflant bruyamment.
-J'ai bien envie..., commence-t'il, en tendant une main en direction des seins de Cora.
-Pas touche!, fait son frère. Tu sais que Dorian a dit! Regardez...mais pas toucher! Elle doit nous rapporter un max! Pas question de l’abîmer!
Puis, se tournant vers Cora:
-Allez, joli cabri! Sautille jusqu'au lit!, fait-il, avec une joie mauvaise dans le regard. Allez, saute!
Humiliée, Cora n'a pourtant d'autre solution que de lui obéir...
Ses petits sauts animent ses seins nus d'un mouvement qui semble rendre le plus petit de ses geôliers littéralement fou!
Ses yeux, fixés sur cet endroit précis de son anatomie, semblent vouloir jaillir de leurs orbites tandis qu'une grosse bosse déforme l'avant de son jean sale...
Si le plus grand n'avait lancé un:
-N'y pense même pas, Jaco!, sec, nul doute qu'il lui aurait bondi dessus.
Quand ses jambes touche le bord du lit, le plus grand, d'une simple poussée de son index tendu entre ses seins, l'y fait basculer.
-J'suis pas cruel, fait-il. J'vais te libérer les jambes... Tu peux aller faire un petit pipi, comme cela!, achève-t'il en riant.
-Oh oui! Bonne idée! Va pisser, que je voie cela!, fait Jaco.
-Allons, allons! Jaco! On ne parle pas comme cela aux dames, voyons! Laisse-lui un peu d'intimité, continue -t'il, avec un grand rire gras.
-Nous vous quittons, Madame!, fait-il, encore. Mais nous reviendrons bientôt, soyez-en sûre! D'ici là, reposez-vous car, connaissant mon frère comme je le connais, le programme qu'il vous a concocté pour les jours qui viennent sera tout...sauf reposant!
L'instant d'après, Cora se retrouve seule dans le silence épais de sa geôle.
-L'est encore mieux roulée que sa mère!, fait Dorian, les yeux rivés sur l'écran de télévision de l'armoire à pharmacie au-dessus de l'établi, quand ses deux frères viennent l'y rejoindre.
-A qui le dis-tu..., fait Jaco, en poussant un soupir à fendre l'âme.
-T'inquiètes! Tu pourras jouer avec elle et avec l'autre quand nous aurons finis la première partie de mon plan!, fait Dorian, en poussant sur le bouton du boîtier de télécommande de l'éclairage, dans la cellule.
-Ouais! Tu dis cela! Et ce s'ra quand, d'après toi?, répond Jaco.
A suivre.
loudé Mallorca- Messages : 103
Date d'inscription : 16/12/2013
Age : 67
Localisation : Waterloo. Belgique
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